FRANCOIS 1 er   -     CHARLES QUINT

 LA PICARDIE    -   LES FLANDRES -  L'ITALIE 

 LA  FRANCHE -COMTE

 

index

1521 1556

1520 1523

1524 1526

1527 1530

1536 1538

1541 1544

1528 2

1546

ALPHONSE10

abdication de charles quint

ANNE DE MONTMORENCY

ARAGON

Artois et la guerre

AUGSBOURG

BARBEROUSSE

le cacao et charles quint

CASTILLE

DATES HISTOIRES

DEBUT GUERRE1 GUERRES2

diète augsbourg

FRANCOIS SFZORZA

FRANCOIS SAUVE PAR  MARGUERITE DUCHESSE D'ALENCON

les gueux

GUERRES3

GUERRES4

GUERRES5

GUERRES6

GUERRES7

GUERRES8

GUERRES9

GUERRES10

GUERRES11

GUERRES12

Les rois de France ont toujours préféré une armée de parade et de chair à canon

la rupture de l'economie

la france contre l'empire

la reforme

les guise

les papes

INDEX

les liens

 

 

 

 

 

 

 

 

L'EMPIRE DE CHARLES QUINT

L'Aragon ne dépassait guère 1 200 000 habitants.

La Castille était alors beaucoup plus proche de l'État moderne que l'Aragon : cela veut dire que l'évolution de ses institutions allait dans le sens du renforcement du pouvoir central, de l'emprise du roi sur ses sujets.

En apparence, la Castille avait des institutions représentatives proches de celles de l'Aragon : les Cortès formaient une assemblée où siégeaient des représentants des trois états, noblesse, clergé et villes. Ces Cortès avaient un rôle financier important puisqu'elles votaient les servicios demandés par le souverain de manière assez régulière et puisqu'elles élaboraient, avec les représentants du roi, les règlements et modalités de l'alcabala, principal impôt du royaume; elles avaient un rôle législatif notable car elles présentaient des pétitions (sous forme de cahier) qui étaient examinées par le gouvernement royal et qui très souvent donnèrent lieu à textes légistatifs (ordonnances, cédules, provisions, etc.).

- parce que ni les textes ni la coutume n'avaient prévu de périodicité des réunions. Les Cortès n'étaient convoquées que lorsque le souverain le voulait. Avec Charles Quint ces convocations furent assez fréquentes et relativement régulières : 15 fois durant le règne.

- parce qu'aucun texte n'obligeait le monarque à tenir compte des pétitions des Cortès.

- parce que, sous prétexte que le rôle des Cortès était souvent fiscal, les nobles et le clergé qui prétendaient n'avoir pas de devoir fiscal répugnaient à venir et pratiquaient l'absentéisme. A tel point qu'elles ne furent plus convoquées après 1539. En fait, nobles et prélats préféraient participer au gouvernement en tant qu'hommes du roi (au sein des Conseils ou des Audiencias) Mais les uns et les autres étaient seigneurs de villes ou de vastes territoires (par exemple, les Medina Sidonia en Andalousie; les Enriquez, Amiraux de Castille, en Vieille Castille) : dès lors, ces villes et territoires ne furent plus représentés aux Cortès; pas plus que les grands domaines des trois ordres de chevalerie (Santiago, Alcàntara, Calatrava) dont les Rois catholiques s'étaient adjugé les maîtrises.

 En fait, cette situation privilégiait les régions qui avaient dirigé la Reconquête, elle correspondait à une réalité.
 

index

LES PËRSONNAGES

Maximilien 1ER

LE MILANAIS

les problemes

PAVIE

PAVIE UNE    AUTRE HISTOIRE

PERONNE

provence

RESUME 1

RESUME 2

resume 3

resume 4

le rôle des français pendant la guerre avec les turcs sous francois Ier

saint dizier

SOLIMAN

stathouders